Baptiste Trotignon Share (Naïve, 2009)
De formation classique, et après un détour par le cinéma (
Le Nouveau monde d'Alain Corneau), le jeune musicien trentenaire s'est tourné vers le jazz, et ses précieuses rencontres (et en particulier avec le trompettiste Éric Le Lann). Et, dès 2000, a tenté avec son trio, de développer une maîtrise de la sophistication harmonique, tout en privilégiant l'intimisme naturel de son jeu. Les onze pièces retenues, toutes composées par le pianiste, se situent entre la rigueur de la tradition (d'un blues expressionniste, aux développements savants, hérités de la musique classique), et la fraîcheur, presque libertaire, d'une inspiration contemporaine, ouverte et curieuse. (music-story)
Belmondo & Milton Nascimento (Bflat, Discograph, 2008
Les Belmondo réalisent ici un autre rêve en pénétrant sur les terres de la musique brésilienne, et plus spécialement dans celles de l'un de ses plus illustres représentants modernes, Milton Nascimento... (chronicart)
Bojan Z Humus (Universal, 2009)
Bojan Zulfikarpazic est bien connu en France (sous le diminutif Bojan Z) au travers de ses multiples rencontres, d'Henri Texier à Michel Portal en passant par Julien Lourau... c'est un projet très différent qu'il offre dans ce disque avec une nouvelle formation, et un son électrique prédominant, ce qui n'empêche pas le pianiste de garder aussi une main sur le piano acoustique, voir de le monopoliser sur un morceau au titre bien choisi "Focus"... Le trombone apporte aussi une couleur fort originale. De ces compositions, fruit d'une réflexion murie autour de ce mariage inédit de sonorités, et également inspirées d'autres musiques plus modernes que le jazz telle le rock, résultent un album totalement novateur. (pianobleu)
Denis Colin et la societé des arpenteurs Subject to change (Le Chant du Monde / Harmonia Mundi, 2009)
La musique de Denis Colin est ouverte aux influences - africaines, américaines, européennes se compose de ruptures et de continuité : ici, les morceaux s'enchaînent d'une traite, tout en ménageant de nombreuses surprises et brisures. (citizen jazz)
Emile Parisien Quartet Au revoir porc-épic (Laborie / Naïve, 2007)
Emile Parisien joue franc jeu et annonce joyeusement la couleur : un ton résolument décalé, ludique mais pointu,oscillant entre émotion et expérimentation, trouvant ainsi un juste équilibre basée sur une alternance entre passages calmes et énervés... (citizen jazz)
Emmanuel Bex Open Gate (Plus Loin / Harmonia mundi, 2009)
L'organiste en trio avec Franco Bearzatti (saxophone clarinette), Simon Goubert (batterie)
Eric Le Lann, avec
Al Foster,
David Kikoski,
Doug Weiss (Plus loin music / Harmonia mundi, 2009)
20 ans après " New York ", le Breton Eric Le Lann est revenu à New York enregistrer avec Al Foster. S'ajoutent à eux, deux représentants de la jeune garde new yorkaise David Kikosky et Doug(las) Weiss. Au menu, deux ballades prisées par Miles Davis (Yesterdays) et Chet Baker (You don't know what love is) et six compositions d'Eric Le Lann dont il a fait ses propres standards. Eric Le Lann est un musicien lunaire, nocturne et discret. (breizhoo)
Eric Legnini Trippin' (B flat Recording, Discograph, 2009)
Le nouveau Eric Legnini Trio est de retour. Après Miss Soul et Big Boogaloo, Eric Legnini persiste à creuser le sillon de la soul-jazz parfumée au funk et au gospel (Citizen Jazz)
Eric Seva Espaces Croisés (Le Chant du Monde / Harmonia mundi, 2009)
Trois ans après son remarquable premier album Folklores imaginaires, Eric Séva signe avec Espaces croisés un second volume dans la continuité logique du précédent. Les compositions sont toujours aussi finement ciselées. Le résultat de ce travail d’écriture, qui explore avec exigence les trois axes majeurs que sont le rythme, la mélodie et l’harmonie, évoque fréquemment le tango ; la présence de l’accordéon de Lionel Suarez, instrument emblématique de ce style musical, renforce encore cette impression. (Citizen Jazz)
Espaces Croisées est un titre très bien choisis, car chacun des musiciens semblent s'entrecroiser, s'entrechoquer parfois dans des voyages intérieurs que chacun semble faire entre la mélodie et la rythmique, entre les rives de la Méditerannée, dans une poétique de voyage qui ne semble pas se tarir... (Sun Ship)
eRikm & Akosh S Zufall (Ronda, 2008)
eRikm est aux platines et retravaille le son de ses vinyles sous les effets. Les boucles ainsi créées servent de terrain de jeu pour le hongrois [Akosh S] dont le saxophone, la clarinette, les flûtes et le tarogato (instrument à vent magyar) sont pris d’un vent de liberté pour ne pas dire de folie. (Krinein)
Frank Tortiller Orchestre Sentimental 3/4 (Harmonia mundi, 2009)
L’orchestre de Franck Tortiller, qui a survécu à son mandat à l’ONJ, est à lui seul une belle alchimie. Arrivé tout formé aux commandes de la vénérable institution, l’orchestre continue donc à évoquer dans un esprit de fanfare un jazz sophistiqué et polymorphe qui n’oublie pas que son leader vient du bal, où l’efficacité et la pulsation sont au service d’une poésie de l’instant.(Citizen Jazz)
Henri Texier Red Route Quartet Love songs reflexions (Label bleu / Harmonia mundi, 2009)
Love Songs Reflexions tranche avec les précédents opus d'Henri Texier sans dépayser ses fans. On y trouve les indices explicites d'une grande affection et d'un profond respect portés à des airs célèbres du jazz et, au delà, des références à des musiciens mythiques. (culture jazz)
Hervé Sellin Tentet Marciac New-York Express (Cristal Records / Harmonia Mundi, 2008) Le talent de compositeur d'Hervé Sellin ne le cède qu'à son savoir-faire d'orchestrateur. Sa suite nous emmène dans plusieurs moods contrastés à l'intérieur d'une grande unité d'inspiration. C'est en somme une déclaration d'amour pérenne au jazz qui nous est ainsi délivrée avec une belle luminosité et des solos dont aucun n'est indifférent, même si on s'enthousiasme particulièrement pour les improvisations sinueuses de Stéphane Guillaume à la clarinette.(télérama)
Humair,
Boisseau,
Monniot,
Donarier,
Codja Bonus Baby Boom (Bee Jazz /Abeille Musique, 2008)
A la sortie du premier album de Baby Boom en 2003, nous étions un certain nombre à penser que ce groupe était l’un des plus excitants de la scène jazz française. Cinq ans plus tard, ce deuxième album confirme et renforce notre impression. (Les Dernières Nouvelles du Jazz)
Jan Garbarek Dresden (ECM / UNiversal Music, 2009)
Jan Garbarek est probablement le seul saxophoniste d'Europe qui ait un son aussi identifiable. Un son très pur, très prenant, parfois légèrement nasillard, au ténor comme au soprano, un son pour lequel la réverbération est presque naturelle, ce qui fait de Garbarek le soliste idéal pour ECM, dont l'écho est la marque constitutive. (Télérama)
John Zorn The Crucible (Tzadick / orchestra, 2008)
Histoire de bien faire comprendre au fan distrait de Keane qu’il s’est trompé de disque, The Crucible commence par un hurlement strident. Rectification : deux hurlements stridents, car la voix de Mike Patton se double des couinements saxophoniques de son mentor John Zorn. Le tout soutenu par la basse grondante de Trevor Dunn (ex-complice de Patton au sein de Mr. Bungle), qui monte et descend comme un pénitent multipliant les génuflexions devant l’autel de Baal-Moloch, tandis que Joey Baron maltraite consciencieusement ses cymbales. (indierockmag.com)
Julien Lourau Quartet Saïgon (Naïve, 2009)
Avec "Quartet Saïgon" , le saxophoniste Julien Lourau revient aux fondamentaux. Ce nouvel album est un pur disque de jazz qui surprendra ceux qui ont suivi ses précédents projets. Ici, pas de funk, de rythmes afros ou de sonorités latinos. Julieu Lourau expérimente pour la première fois la formule du quartet à laquelle il rend hommage. (france info)
Louis Winsberg Douce France ( E-MOTIVE Nocturne
De Georges Brassens à Claude Nougaro, en passant par Laurent Voulzy, Serge Gainsbourg et d'autres, le guitariste Louis Winsberg revisite sans ménagement les standards de la chanson française et nous livre, sans nostalgie aucune, " sa" Douce France. (nemomusic)
style : guitare jazz
Matana Roberts The Chicago project (Central Control / La Baleine, 2008)
La saxophoniste Matana Roberts signe avec The Chicago Project un album de jazz inventif, entre post-bop acéré, free jazz ragaillardi et avant-gardisme finement dosé, le tout impeccablement produit par John McEntire.
Nils Petter Molvaer Hamada (Emarcy Records / Universal, 2009)
Nils Petter Molvaer est un trompettiste norvégien âgé de 49 ans.Ce disque est certes plus épuré et plus ambient que les productions précédentes et s'apprivoisera beaucoup mieux après quelques écoutes. Il décontenancera peut-être les fans du Molvaer plus électronique mais renforcera tout mélomane dans l'idée que le Scandinave est bien le chantre d'un renouveau jazz que n'aurait définitivement pas renié le regretté Miles Davis. (Chroniques électroniques)
ONJ (
Orchestre National de Jazz),
Daniel Yvec, dir. ; Arr. de
Vincent Artaud Around Wyatt (Bee Jazz / Abeille musique, 2009)
Dans les projets proposés par Yvinec lors de sa candidature, il y avait cet hommage à Robert Wyatt, mage éthéré de l'école de Canterbury. Et c'est une sacré bonne idée !
Canterbury, ce moment classieux et aérien du rock psychédélique dont les voluptueuses brisures moussèrent du jazz à la contemporaine comme un temps gracieux et suspendu impacta tous les genres. (Franpi, Sun Ship)
Rufus Cappadocia Songs for cello (Daqiu / Harmonia Mundi)
Rufus Cappadocia est né en 1967 au Canada, d'une mère américaine et d'un père immigré italien. De formation classique, il se passionne pour l'ethnomusicologie et expérimente le jazz progressiste dans le métro de Montréal ou sur les scènes new-yorkaises. Parmi les coups de coeur, les musiques andalouses, haïtiennes, grecques, balkaniques, indiennes, africaines, moyen-orientales... Son instrument aux sonorités ultrabasses, il l'a inventé. Cet album épuré lui est dédié. Il a été enregistré en live, au Canada. Et en solo. Les digressions aux percussions et aux cordes pincées sont donc les siennes. (telerama)
Secret Chiefs 3 xaphan - book of angels vol.9 (Tzadik / Orkhêstra International)
Après quelques mois de retard, voici le neuvième épisode du livre des Anges de John Zorn. Dire que ce dernier était attendu tiendrait du pléonasme, dû au groupe, que dis-je, à l'ovni convoqué, le bien nommé "Secret Chiefs 3". Trey Spruance, après les aventures encombrantes de Mr Bungle, se plonge enfin dans une musique où il sera le seul maître, le seul investigateur, l'arrangeur, le producteur, le mixeur, Dieu. Spruance, par sa machine hypercontrolable "Secret Chiefs" peut tout se permettre, et le fait de le voir collaborer avec ce renard de Zorn, toujours à l'affut d'un groupe à l'alchimie parfaite avec ses compositions, n'est pas surprenant. (xsilence)
Stéphane Grapelli Claude Bolling Big Band (First class / Frémeaux & Associés, 2002)
Cet enregistrement fait désormais partie de l'histoire du Jazz. L'Europe du XXe siècle aura eu pour le Jazz classique trois grands représentant (Django Reinhardt, Stéphane Grappelli et Claude Bolling). Si l'oeuvre conjointe des deux premiers est maintenant entièrement disponible dans l'intégrale Django Reinhardt, la réunion de Grappelli et Bolling est touchante car elle prend toute sa légitimité affective. Le son est excellent et ce moment d'exception existe en CD et DVD. (Patrick Frémeaux ) Grand prix de l'académie du jazz, sélection jazz hot, disque d'émoi jazz magazine, grand prix du hot club de France.
Stéphane Guillaume Windmills Chronicles (Gemini records, 2009)
Stéphane Guillaume a été doublement récompensé. Ce jeune musicien, qui a débuté au milieu des années 1990 au sein de l'ONJ de Laurent Cugny, a reçu le Prix Django Reinhardt récompensant le meilleur musicien français de l'année. Il a également reçu le Prix du Disque français pour "Windmills Chronicles", son troisième album, publié en 2009 et enregistré en onztette avec sept cuivres.
The Wynton Marsalis Quintet et
Richard Galliano From Billie Holiday To Edith Piaf (Harmonia mundi)
Le répertoire est tout trouvé : un programme convenu mais soigneusement choisi, dans la tradition du jazz, la musique du XXè siècle. Ça swingue très vite, le public chavire, on sait qu’il est bon enfant, et puis il connaît tous les tubes par coeur.Les titres s’enchaînent avec élégance : même sans paroles, le célèbre Strange Fruit laisse passer l’émotion d’une marche funèbre, référence aux dirge et stomp de la Nouvelle-Orléans. (citizenjazz.com)
Thomas Enhco Esquisse (Ames / Harmonia Mundi, 2005)
Formé au Centre International des Musiques Improvisées du célèbre violoniste Didier Lockwood, Thomas, 17 ans, visage rond et bouclettes taquines, manie son instrument de prédilection avec une facilité désarçonnante. Sur Esquisse, le trio Thomas Enhco & the jazz Angels - violon, piano, contrebasse, batterie - passe souplement du swing à la samba et au up tempo sur 11 pistes délectables. (RFI Musique)
Tony Malaby Cello trio Warblepeck (Sonlines recording /Abeille Musique, 2008)
Nouveau trio électro-acoustique, composé du saxophoniste Tony Malaby, du violoncelliste, par ailleurs féru d’électronique, Fred Lonberg-Holm, et d’un batteur, aussi adepte de xylophone, glockenspiel, mélodica et marimba, John Hollenbeck.
Ze Jam Afane & Vincent Courtois L'Homme Avion (Chief Inspector / Abeille Musique, 2009)
Musicalement, on oscille entre l’univers signé Courtois, le pop-rock saturé, quelques ambiances gainsbouriennes période Melody Nelson et même des tourneries sautillantes à la Manu Chao. Cet album a toute sa place dans l’univers du jazz, il est le fruit d’un lent travail d’écriture mais compte aussi de belles tranches d’improvisation. (citizen jazz)
Jazz Manouche
Gadjo Combo Modern swing (Frémeaux & Associés, 2007)
"Avec un compositeur de talent à sa tête (Marc Joubert), la formation séduit l’auditeur par sa force tranquille et distille un swing plein de gaieté et d’entrain. Synthèse de la fière tradition du swing manouche ouverte à des influences allant du classique au rock " (Benjamin Goldenstein et Patrick Frémeaux)
Jazz vocal, Easy listening
Ben Sidran Dylan different (Bongiovanni / Bonsaï Music, 2009)
Treize titres enregistrés chez et avec Rodolphe Burger (guitare et voix), soutenus par une section rythmique tout en élégance, celle d'Erik Truffaz et Jacques Higelin composée de Alberto Malo (batterie) et Marcello Giuliani (basse et contrebasse), pour un hommage appuyé au célèbre songwriter américain. (evene)
Blossom Dearie Four classic albums plus (Mercury Import 2009)
Blossom Dearie (28 avril 1926 - 7 février 2009) est une chanteuse et pianiste de jazz américaine, excellant particulièrement dans le style bebop. Elle est reconnaissable à sa voix fraiche et enfantine. Elle chante de nombreuses chansons en français dont la célèbre "
Plus je t'embrasse".
Melody Gardot My one and only thrill (Verve / Universal, 2009)
Voix, douce et caressante, improvise des scats, un blues roots ou félin, une mélopée sensuelle. Déroutante, elle aboutit, au fil de 11 morceaux, à un delta où jazz, country, blues et influences brésiliennes se rencontrent.(L'express)
Pink Martini Splendor in the grass (Heinz records / Naïve, 2009)
Style : Jazz - Latino - Lounge.
Les chansons du quatrième album de Pink Martini, ce groupe de Portland (Oregon) dont la France raffole, brillent à l'heure des cocktails avec ses mambos, cha-cha-cha, sambas en Technicolor. Mais pas seulement. (L'express)
Traincha Burt Bacharach songbook 2 (Blue note / EMI Music France, 2008)
Judith Katrijntje Oosterhuis, plus connue sous le pseudonyme de Traincha, est une chanteuse néerlandaise de pop et de jazz née le 5 février 1973 à Amsterdam.
Youn Sun Nah Voyage (Act / Harmonia mundi, 2008)
Ccette chanteuse sud-coréenne aurait pu devenir une étoile d'opéra. Mais elle a consacré son talent à un jazz fait sur mesure. Au fil de douze morceaux, Youn Sun Nah ne cesse de changer de registre. (L'express)
Ethno-Jazz
Aziza Mustafa Zadeh Dance of fire (Columbia / Sony Music, 1995)
Aziza Mustafa Zadeh est une chanteuse et pianiste de jazz du groupe ethnique des Azéris, née le 19 décembre 1969 à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan. Pays du Caucase situé à l'Est de la Turquie et au Nord de l'Iran. Elle réside aujourd'hui à Mayence en Allemagne. Elle joue ici avec des musiciens de jazz les plus renommés : le bassiste Stanley Clarke et le batteurs Omar Hakim , le guitariste Al Di Meola et le saxophoniste Bill Evans.
Bar Kokhba Sextet Lucifer: The Book of Angels, Vol. 10 (Tzadik Orkhêstra International)
« Lucifer » est le premier album studio du Bar Kokhba sextet, probablement le groupe préféré des fans de John Zorn, depuis dix ans. Zorn, saxophoniste moins en colère ici, nous propose ici une musique qui puise sa source dans la tradition hébraïque et qui, par ce biais, permet à son auteur de progresser dans sa quête de créer la « nouvelle musique juive ».
Fatima Spar & the French Fries Trust (Geco Tonwaren Import, 2008)
Fatima Spar est une chanteuse turque basée à Vienne. Elle se produit avec sa formation The Freedom Fries dans un style sophistiqué et dansant mêlant le jazz, la chanson populaire, le cabaret et les musiques tziganes, orientales et balkaniques.
Funk & Soul
Alice Russell Pot of gold (Differ Ant, 2008)
Ancien membre du Quantic Soul Orchestra et activiste du label Tru Thoughts, Alice Russell fait aujourd’hui partie des piliers de la soul made in UK, se démarquant néanmoins largement de sa cadette Amy Winehouse à la vie trash surmédiatisée.(Mowno)
Black Eyed Peas The E.n.d. (the Energy Never Dies) (Polydor / Universal, 2009)
Les Black Eyed Peas marquent donc une rupture avec leurs travaux précédents puisque, vous l’aurez compris, The E.N.D. est entièrement "électrolysé"
Mariah Carey Memoirs Of An Imperfect Angel (Mercury / Universal, 2009)
Il faut savoir se remettre rapidement en selle. Voici ce que Mariah Carey s'est peut-être dit après le relatif échec de son album "E=MC2", paru il y a tout juste un an. La chanteuse américaine est ainsi déjà de retour avec ce "Memoirs Of An Imperfect Angel", en forme de rachat. (MusicActu)
Michael Jackson King of pop - Edition 2 CD (Epic / Sony BMG, 2008)
Compilation consacrée au "Roi de la pop" [autoproclamé], "King Of Pop - The French Fans' Collection" a été directement élaborée par les fans français de l'artiste.(MusicActu)
Michael Jackson Michael Jackson's This Is It (Epic / Sony, 2009)
Première pièce de la discographie posthume du "Roi de la pop", "This Is It" est plus remarquable comme pièce de collection que comme œuvre complète. (MusicActu)
Michael Jackson Bad (Sony Music BMG, 1987)
Pas facile pour Michael Jackson de se relancer après avoir sorti avec
Thriller le plus gros carton discographique de tous les temps. Changement de concept : sur Bad , Michael en a fini de jouer avec les fantômes et autres vampires, il revient en mauvais garçon, regard sombre et cuir clouté. (Fluctuat)
Prince Lotus Flow3r (Because / Warner Music, 2009)
Prince intéresse t-il encore grand monde en 2009 ? C’est un peu la question qu’on se pose avant d’écouter ce "Lotus Flower" tant il nous a déçu ces dernières années en faisant paraître des albums en trop grand nombre et surtout loin d’être indispensables. (Hopblog) [Mention spéciale pour la pochette :-) ]
The New Mastersounds Plug & play (One note / La Baleine, 2008)
L'un des meilleurs disques de soul-jazzy-funk depuis le 1er album de Quantic Soul Orchestra
Whitney Houston I look to you (Jive / Sony BMG, 2009)
Sept ans après "Just Whitney", Whitney Houston revient sur le devant de la scène musicale avec un nouvel album. Enregistré avec la collaboration de plusieurs artistes tels que R. Kelly, Akon ou Alicia Keys. (MusicActu)
Hip-Hop
Atmosphere When Life Gives You Lemons, You Paint That Shit Gold (Rhymesayers / Pias, 2008)
Si l’on était en mesure de donner ici une définition convaincante de l’emo-rap, on pourrait également expliquer pourquoi le duo Atmosphere en représente une des figures de proue. A défaut, on se contentera de décrire un rap blanc introspectif au beat lent et lourd, aux accents mineurs omniprésents, centré sur les désordres psychologiques de Slug (le MC, gueule d’Atmosphere n°1) et sur la narration des galères sordides de personnage sans éclat : toxicos, SDF, serveuses célibataires.
Un rap de songwriter en somme. (indiepoprock)