Dans la vidéo suivante, Spike Jones and the City Slickers interprètent successivement le thème de l'Arlésienne de Georges Bizet (également connu comme La marche des Rois mages ("de bon matin, j'ai rencontré le train...") et Dans la Halle du Roi de la Montagne un thème de Peer Gynt une musique de scène composée par Edvard Grieg.
Une frénésie burlesque jusqu'au "frappadingue" qui fait irrésistiblement penser aux délires des Marx Brothers.
Spike Jones is murdering the classics. - RCA : BMG, 1971 (P)
Notes sur la pochette du disque : "Spike Jones massacre les classiques !" "Wow, Attendez un peu d'entendre ce qu'il a fait à Carmen, Guillaume Tell, Le Beau Danube bleu, Liebstram, Casse-Noisette, etc."
Contient : L'ouverture de Guillaume Tell (d'après Rossini) ; Rhapsody from Hunger(y) ; Pal-Yat-Chee ; Liebestraum (d'après Liszt) ; Le beau Danube bleu (d'après Johann Strauss) ; The Jones Laughing Record (avec "Le vol du bourdon") (d'après Rimsky-Korsakov) ; Casse-Noisette (d'après Tchaikovsky) ; La danse des heures (d'après Ponchielli) ; None But The Lonely Heart : A Soaperetta (d'après Tchaikovsky)
Morphée (d'après Offenbach) ; Il Bacio (d'après Arditi) ; Carmen (d'après Bizet)
Ce disque, disponible à la médiathèque de Dole, est à écouter avec une certaine modération, la migraine étant, notamment, l'un des effets secondaires possibles.
L'article de Wikipédia sur Spike Jones